Théâtre

Ces deux pièces mettent en scène des personnages de femmes que tout oppose, sauf le besoin de parler pour ne pas perdre pied. Dans Mon chat s'appelle Odilon, Natacha a peur de la solitude mais semble incapable de s'investir dans sa relation avec l'homme qu'elle aime. Dans Tête à tête, Lucienne déballe sa rancoeur et les secrets de sa vie privée à un homme amnésique.

Un petit livre magique de poésie, d'humour, de force, de vérité. À mettre entre toutes les mains, femmes ou hommes, jeunes ou vieux. Pour apprendre à ne plus avoir peur de parler de ce foutu vagin! Mais surtout pour une belle réflexion sur ce que c'est d'être une femme.

Le cyclope, Alceste,Médée,Hippolyte,Les héraclides, ,Andromaque,Hécube,La folie d'héraclès,Les suppliantes,Ion.

Un hotel, deux jeunes femmes prêtes à prendre amant, deux noceurs pouvant leur rendre ce service, une anglaise suicidaire, un médecin retraité... et le dindon de la farce !

Cette biographie de l'actrice de théâtre et de cinéma Maria Casarès (1922-1996), femme acharnée de travail et passionnée, s'attache à retracer les enjeux esthétiques de son art, en particulier au théâtre

On ne présente plus les célèbres noces de mademoiselle Beulemans et de monsieur Séraphin !

Simon s'invente chaque jour un métier : spectateur de soi-même, flatteur d'égo, allégeur de conscience... Entre les cassettes qu'il envoie à sa femme, Nathalie, partie soigner les déshérités en Afrique et les représentations de sa vie de chômeur, Simon est très occupé.

Quatre textes ayant pour thèmes une vente aux enchères, une photo de famille, un rassemblement et une séparation.

Grâce est comblée par la vie. Elle occupe avec son mari Henri une grande maison dont une seule des vingt-huit pièces lui est interdite. Lors d'un voyage d'affaires d'Henri, elle entre dans cette petite pièce en haut de l'escalier, pour y découvrir le corps d'un homme blessé... ©Electre 2022

Les incendies criminels se multiplient dans la ville. Monsieur B. - petit industriel enrichi par une lotion capillaire dont il a licencié l'inventeur - fulmine contre cette insécurité grandissante, mais il ne sait pas refuser d'héberger dans le grenier de sa villa un repris de justice, puis un second, qui bientôt y stockent des bidons d'essence, des détonateurs, des mèches... C'est à Monsieur B. lui-même qu'ils demandent finalement des allumettes, et il les leur fournit. Car sa peur de l'incendie est encore moins grande que sa peur d'avouer qu'il a peur, et sa mauvaise conscience plus forte que ses «bons» ou mauvais sentiments.
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