Théâtre
Sur les traces d'écrivains bohèmes, (Eugène Dabit, Alphonse Allais, Roland Dorgelès, Courteline, etc.) l'auteur retrace le passé artistique de la butte.
Résumé en cours
Gabrielle est une femme trompée qui confie ses problèmes à son amie Caroline. Les deux femmes passent du rire aux larmes dans ce portrait de la bourgeoisie du début du XXe siècle dressé par Courteline.
Un soir, le docteur Richard rentre chez lui, où l'attend sa femme Corinne, avec une inconnue qu'il a trouvée, dit-il, étendue sur le bas-côté de la route. Toute la pièce est construite sur le doute : le doute sur ce que dit Richard, sur ce que devine sa femme, le doute sur cette jeune femme Rebecca dont on attend qu'elle se réveille pour livrer quelques éclaircissements.
En juillet 1944, la ville de Chartres est libérée de l'Occupation allemande. Pierre Giraud a repris le salon de coiffure de son père lorsque celui-ci est mort dans un camp de travail. Marie, sa mère et figure de la Résistance, s'occupe du salon pour les dames. Pierre commence une nouvelle activité, celle de la tonte des femmes. ©Electre 2023
Claude, assistée de Marie-Luc et de Lothaire, tente d’élucider son lien avec la création en donnant une conférence. Plus ils essaient d’avancer et de plonger dans le sujet, plus ils sont hantés par la mystérieuse chaise vide qu’une quatrième personne avait pour habitude d’occuper avant sa mystérieuse disparition... Comment vont-ils arriver à remplir le vide qu’ils ressentent ? Vont-ils réussir à passer au travers de la conférence malgré ce sentiment de malaise qu’ils sont incapables de mettre en mots ?
Trois frères et une soeur, deux fois orphélins après la disparition de leurs parents adoptifs, ont hérité d'une cabane branlante et d'une étrange machine - le Dire-Dire, sorte de cornet en cuivre où chacun déverse ses peines et ses joies. Organisés en tribu, ils refusent toute intrusion sur leurs terres. Partie à la conquête des villes en chantant, leur soeur revient bientôt, défaite, la voix perdue, les membres sans mouvements. Commence une course aussi vaine qu'affolée pour lui redonner vie.
Un entrepreneur chinois désire créer la filiale d'une entreprise française à Shanghai. Comme il a besoin sur place d'un homme compétent qui puisse former ses futurs cadres, Lisa est chargée de déterminée qui, parmi les trois cadres français Philippe, Nicolas et Jean-Pierre, sera le formateur et pourra s'adapter à un environnement, à une culture et à un état d'esprit différents.
Un préfet prend ses fonctions dans un chef-lieu de province. Son premier visiteur est le chef d’une troupe de théâtre. Les deux hommes devisent tout d'abord sur l’art puis finissent par se brouiller. Le saltimbanque repart, avec par erreur la liste des notables attendus le même jour par le haut fonctionnaire.
Le théâtre de Ghelderode est une oeuvre dramatique étrange, parfois brûlante, et qui porte en toutes ses parties la marque de l'extraordinaire personnalité de son auteur. Michel de Ghelderode, né en 1898 à Ixelles (Brabant), mort en 1962 à Bruxelles, a commencé à écrire pour le théâtre à la fin de la guerre de 1914, et a clos son expérience dramatique à la veille de celle de 1939. Son oeuvre se compose d'une cinquantaine de pièces d'une truculence et d'une verve toutes flamandes. Leur violente jeunesse défie le temps. Ecrites par un Flamand de langue française, elles mettent en scène, dans une langue forte et savoureuse, les démons et les saints qui hantaient les rêves de la Renaissance flamande : moines bons et mauvais, bourreaux, rois fous, seigneurs pervers, populace croyante et fière ; mais, aussi, l'homme d'aujourd'hui, partagé, déchiré, tiré à hue et à dia, à Dieu et au diable.
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