Déporté à Buchenwald, l'auteur essaie de revivre après sa libération. La mort qu'il a côtoyée trop longtemps le poursuit ; il faudra des années pour essayer d'oublier, des décennies pour avoir la force d'en parler et de sortir de son cauchemar permanent
Vingt ans et un jour, c'est la peine que la justice franquiste réservait aux dirigeants politiques de l'opposition. Un portrait intime de l'Espagne meurtrie par la guerre qui rêve d'avenir.