Roman classique
Le premier roman de Jane Austen, écrit en 1797 et publié en 1811 : deux soeurs aux caractères opposés, les préparatifs de leurs mariages, la lutte qu'elles doivent mener pour conquérir leur place au sein de la bonne société d'une bourgade du Devon.
Une veuve spirituelle et jolie, mais sans un sou, trouve refuge chez son beau-frère, un riche banquier. Le jeune Reginald se demande si elle est sans scrupules, prête à tout pour faire un beau mariage, ou juste une coquette qui veut s'amuser.
Au début du XIXe siècle, dans une station balnéaire récemment créée, Charlotte est le témoin de divers imbroglios amoureux au sein d'un groupe de jeunes gens. Elle est à son tour entraînée par les élans du coeur. Ce livre débuté par Jane Austen a été achevé par une personne anonyme.
Les tribulations délirantes de la belle Laura, fanatiquement éprise de beaux sentiments et égoïste jusqu'à l'absurde.
Resté veuf avec trois filles, sir Elliot a confié Anne à des amis qui ont pris soin de son éducation. Fiancée à un officier de marine, elle rompt avec lui sur les conseils d'une amie, à cause de son manque de fortune. Mais celui-ci revient riche en Angleterre, décidé à fonder une famille.
Dans un salon cossu de Mansfield Park, une jeune femme attend celui qui deviendra, peut-être, son mari.
Une jeune provinciale de bonne famille est envoyée à Bath, prendre les eaux, pour faire son apprentissage du monde et des intermittences du coeur. L'héroïne est égarée au milieu de conjonctures qui la rabaissent aux yeux du lecteur. En toute occasion, elle se comporte en référence à son livre de chevet, Les mystères d'Udolphe de Mrs Radcliffe. Parodie du roman gothique.
Elizabeth n'est pas riche. Darcy, lui, l'est. Parviendront-ils à se marier au-delà de l'orgueil et des préjugés ?
Emma décide de jouer les entremetteuses en mariant ses amies à des hommes qu'elle connaît mais rien ne va comme prévu.
Emma Woodhouse régente la vie affective de sa protégée, Harriet, bâtarde et orpheline, mais découvre qu'elle est elle-même le jouet de son soupirant : un ami méprisé qui reviendra à elle et lui épargnera la honte.