Philosophie

Ces lettres, rédigées entre 1803 et 1860, mettent en perspective les écrits d'A. Schopenhauer, l'unité de son oeuvre et les malentendus qu'il s'est efforcé de dissiper. Au fil des ans, les thèmes abordés et les correspondants se multiplient, en même temps que grandit la notoriété du philosophe. ©Electre 2018

Pour Schopenhauer, la sagesse dans la vie est l'art de rendre celle-ci aussi agréable et heureuse que possible. Dans ce traité, il invite le lecteur à se recentrer sur ce qu'il a en lui-même et à en tirer les bénéfices pour son existence.

Dans cette série qui s'adresse à l'homme de culture, l'auteur fait entrer le lecteur au coeur de la pensée d'un grand philosophe en partant d'un problème spécifique pour lui. En suivant ce chemin, le lecteur peut mesurer ce qui est en jeu dans une pensée et les raisons de sa pérennité.

La question de l'hospitalité est analysée dans ses implications éthiques et politiques. De cette obligation envers l'autre naît un dialogue d'une incroyable richesse. ©Electre 2016

Ce livre est une introduction à la philosophie abordée sous l’angle du bonheur devenu, aujourd’hui, un véritable devoir social. Je propose une analyse d’une trentaine de philosophes ou d’écoles qui ont marqué notre civilisation, les grands mouvements des trois derniers siècles, les bonheurs multiples de l’individu et de la collectivité, celui de la raison comme de la foi, celui des droits et des devoirs.

Résumé en cours

Le traité De la brièveté de la vie, écrit par le philosophe stoïcien Sénèque à l’intention de son beau-père Paulinus au premier siècle de notre ère, nous enseigne à quel point nous passons une grande part de notre vie à la perdre. C’est à tort que nous croyons la vie brève – au sage, elle se révèle d’une richesse infinie…

Enseignements de Sénèque inspirés du stoïcisme visant à tranquilliser l’âme.

Recueil d'écrits moraux adressés, peu de temps avant que son auteur ne mette fin à ses jours, à un ami, de condition modeste mais devenu procurateur de Sicile

Ce texte repose sur un argument simple : il faut rechercher la vertu, non la volupté.
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