Philosophie

Cours prononcé par l'auteur à l'Ecole nationale d'administration en 1953, consacré à l'analyse des grandes formes politiques du XXe siècle : démocratie parlementaire d'un côté, totalitarisme sous la forme pure du soviétisme stalinien de l'autre

Le bilan des réflexions de ce philosophe politique sur le monde moderne et l'évocation de ses proches, de son oeuvre, des hommes et de la vie.

Le bilan des réflexions de ce philosophe politique sur le monde moderne et l'évocation de ses proches, de son oeuvre, des hommes et de la vie.

Ce manuel a été composé par Arrien, disciple du stoïcien Epictète (50-130 env.) à partir des enseignements de ce dernier. Il est organisé, conformément à l'enseignement d'Epictète, selon une structure ternaire qui est celle des trois disciplines du jugement, du désir et de l'action, dans une visée avant tout parénétique.

Un récit limpide qui s'écoule au rythme de notre voix intérieure.

La civilisation occidentale ne semble pas accorder la même importance au sens du goût qu'à celui de la vue et de l'ouïe. Cette situation trouve certainement son origine dans les liens qui unissent le goût aux besoins biologiques de la nutrition dans un rejet des lois naturelles de l'alimentation et de la digestion. En opposition aux normes, cet essai développe l'idée d'une jouissance alimentaire. ©Electre 2020

Une analyse des différents types de croyances et de leur fonctionnement au cours de l'histoire, mais également dans les sociétés du XXIe siècle. L’auteur montre comment elles constituent un rouage essentiel du rapport de l’homme à son environnement et favorisent la construction de la pensée.

Une réflexion sur l'espoir en tant que valeur politique, laïque, philosophique et humaine

Jacques Attali imagine les évolutions que le monde pourrait vivre dans les décennies à venir.

Pendant très longtemps, j'ai eu davantage à consoler qu'à être consolé. Sans comprendre que consoler les autres était aussi une façon de se consoler soi-même, de se rassurer face à la douleur, à l'inévitable. Il m'aura fallu un chagrin intime pour admettre qu'il est des situations inconsolables, des deuils indépassables. Pour comprendre aussi que la demande de consolation est toujours immense, même si elle est non dite ; et que l'acte de consoler est l'un des plus importants parmi tous ceux qu'un être humain doit accomplir. Consoler, c'est comprendre la peur et la douleur de l'autre ; c'est aimer, sans demander à être aimé, c'est trouver une esquisse de réponse à la plus difficile et la plus narcissique des questions : comment se consoleront-ils de ma mort ?

