Ecrivains et histoire de la littérature

Dans une promenade ludique qui rend ses lettres de noblesse à la culture populaire et célèbre le pouvoir subversif des livres, Joann Sfar donne pour la première fois les clés de son rapport à la création.

Rédigé entre 1822 et 1844, le journal intime de la romancière anglaise débute avec la mort dans un naufrage de Percy Shelley alors qu'ils fuyaient l'Angleterre. Agée de 25 ans, la veuve se retrouve seule avec le dernier de ses enfants toujours en vie et raconte sa souffrance.

Emigré aux Etats-Unis à l'âge de 7 ans, le petit Igor vit les dernières heures de l'Union soviétique. De son éducation russo-américaine à ses déconvenues amoureuses, en passant par le désarroi de ses parents face à leur fils rêveur et asthmatique, le narrateur met en scène son parcours personnel.

C'est avec une émotion juste, entre joie et mélancolie, que Christian Signol égraine ses souvenirs d'avant onze ans, moment tragique où on le mit en pension à la ville, l'éloignant ainsi, mais provisoirement, de ses trésors d'enfance.


Résumé en cours

Sous forme de lettres adressées à son fils, Simenon raconte des anecdotes de son enfance.

Les mémoires de l'écrivain belge, initialement parus en 1980, dans lesquels il retrace son enfance à Liège, sa prolifique carrière de romancier à succès, ses nombreux voyages ou encore ses amours compliqués. L'ouvrage est complété par un recueil de textes écrits de 1962 à 1978, par sa fille Marie-Jo, qui s'est suicidée à l'âge de 25 ans.

En 1970, Simenon est appelé au chevet de sa mère. Huit jours durant, il reste auprès d'elle à l'hôpital. L'intensité du face-à-face, la force des regards et l'éloquence de leur mutisme lui inspireront ce livre. ©Electre 2018

Trente ans durant, l'auteur a partagé avec son père grandes et petites joies, promenades, conversations à coeur ouvert, coups du sort et drames, la démence alcoolisé de sa mère, le suicide de sa soeur.
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