Ecrivains et histoire de la littérature

Réunit quatre évocations d'écrivains : S. Beckett, G. Flaubert, M. Ibn Manglî, et W. Faulkner, et un récit d'inspiration autobiographique. Prix Décembre 2002.

Thomas Mann l'appelait "l'ange dévasté" et Roger Martin du Gard la remerciait de "promener sur cette terre son beau visage d'ange inconsolable". Tout à la fois écrivain, journaliste, photographe et archéologue, issue d'une famille de riches industriels zurichois, Annemarie Schwarzenbach (1908-1942) n'a cessé de fuir un milieu en complète contradiction avec ses aspirations. De la Russie à la Perse, des Etats-Unis au Congo, son existence fut certes marquée par la morphine et plusieurs internements, mais aussi par une lutte acharnée contre le nazisme au travers de ses écrits et de son amitié tumultueuse avec Klaus et Erika, les enfants terribles de Thomas Mann.

L'écrivain, critique littéraire, grand reporter, chroniqueur judiciaire, historien et satiriste, trace une centaine de portraits, enthousiastes, mordants ou nostalgiques, de personnalités qu'il a croisées au cours de sa vie : J. Kessel, W. Churchill, S. Dali, F. Astaire, Arletty, O. Welles, V. Poutine, Y. Saint Laurent, L.-F. Céline, C. de Gaulle, B. Vian, W. Allen, J.-M. Le Pen, etc.

Figure importante du théâtre, de la littérature et du cinéma américain du XXème siècle, Miller nous livre ici son autobiographie.

Figure importante du théâtre, de la littérature et du cinéma américain du XXème siècle, Miller nous livre ici son autobiographie.

Un texte écrit directement en français en 1976, dans lequel l'écrivain évoque entre autres ses souvenirs, ses coups de coeur, l'art et la littérature. ©Electre 2024

Extraits de Les livres de ma vie, ces textes proposent des réflexions mêlant souvenirs et anecdotes sur la lecture.

Un grand Miller, solaire et enchanteur, où l'écrivain chronique la vie de dépouillement et d'émerveillements qu'il a choisi de mener à Big Sur, en Californie. Une ode à la nature, à sa puissance rédemptrice et sacrée, et à la liberté

Tout au long de son texte, l'auteur affirme le caractère éblouissant et fécond de sa rencontre avec Rimbaud. Il nous montre la portée d'une oeuvre qui nous oblige à réformer notre perception du monde.

C. Millet a entrepris ce récit où elle raconte son enfance, son père et sa mère, pour essayer de comprendre comment on peut grandir sans se fabriquer une morale, et comment peut naître le désir d'écrire

