Lorsque sa fille Thérèse rencontre Carl, exilé de la Tchecoslovaquie encore communiste, la narratrice de ce roman sent vite que quelque chose va changer dans sa propre vie.
La Grèce avait des esclaves et les citoyens ne représentaient qu'une minorité de personnes dans la cité. En dépit de ces faits indéniables, l'élan vers la liberté pour les Grecs était irrésistible. L'auteur retrace cette prise de conscience, si saisissante sur le plan des idées et des sentiments.
Une enquête sur la douceur dans les domaines de la morale et de la politique dans la cité grecque depuis le Ve siècle av. Jésus-Christ jusqu'à Plutarque.