En réponse aux détracteurs de l'empereur et à leurs critiques relatives à l'esclavage, au patriarcat, à sa dictature et aux guerres qu'il a menées, l'historien met en cause ce qu'il estime être une succession de faux procès fondés sur des anachronismes, sur l'ignorance ou sur des partis pris idéologiques. Il rappelle le rôle de Napoléon et de sa politique dans la construction de la France.