Concierge, madame Dodin manifeste sans cesse son mécontentement à ses locataires ou à son seul ami, Gaston, le balayeur du quartier. Ce texte est tiré du roman Des journées entières dans les arbres.
Un journal, une lettre d’amour, un livre. Cet amour qui aspire l’entier désir d’un être pour un autre être, sa vie. Avec la mort également puissante et présente, les vagues de découragement, la panique du néant proche et de la perte. Tout est là, de l’œuvre et de la vie vécues ensemble dans le même mouvement exigeant et féroce.