Mea Culpa : mes 100 meilleures chroniques
C’est un drôle de talent que celui de la chronique. Parce qu’il doit faire plus que commenter et davantage que persifler. Isabelle Falconnier a cette plume rare qui sait la caresse et la pique, parce que l’un n’existe jamais sans l’autre. Durant huit ans, de 2009 à 2017, au sein de l’Hebdo, elle a entretenu avec ses lectrices et lecteurs un lien très particulier: celui qui lie à l’amie, à la sœur en rire ou en colère, à l’agaçante s’il le fallait, à la paradoxale, à l’amoureuse ou à la surprenante. Car une chronique, ça n’est rien si ça n’est pas vous-même, si on n’y prend pas le risque de se dévoiler pour chercher un peu mieux l’époque et les gens: DSK, Brangelina, les Femen, ses amours ou Nabilla, les femmes voilées, Clooney, Bond, le viagra, les vegan, le Petit Prince, le Salon de l’auto, Cantat, Carla Bruni ou la plante de grand-maman. Des prétextes que tout cela, des histoires pour se tendre la main, et se sentir ensemble. Dans ce livre, il y a ainsi une sélection d’une centaine des chroniques d’Isabelle Falconnier. Elles sont comme des lettres à vous seul adressées, et que vous garderez secrètes.
Extrait sonore