Sciences politiques et économiques

Débarrassé de son ministère, Frédéric Mitterrand raconte ce qui lui a plu pendant les trois années durant lesquelles il a été ministre de la Culture. Il observe le monde politique et les hommes politiques avec un oeil amusé. Prix du livre politique 2014

La mauvaise vie qu'il décrit est la seule qu'il a connue. Il l'a gardée secrète en croyant pouvoir la maîtriser. Il l'a racontée autrement à travers des histoires ou des films qui masquaient la vérité. Certains ont pu croire qu'il était content de son existence puisqu'il parvenait à évoquer la nostalgie du bonheur. Mais les instants de joie, les succès, les rencontres n'on été que des tentatives pour conjurer la peine que sa mauvaise vie lui a procurée.

À travers une multitude de souvenirs qui lui reviennent quotidiennement, F. Mitterrand évoque les regrets et les remords qui leurs sont liés

Après La mauvaise vie, F. Mitterrand évoque son adolescence parisienne dans une famille bourgeoise du XVIe arrondissement, jusqu'en 1969 : sa quotidien de lycéen, sa vie de famille, sa découverte de la littérature et du cinéma, son initiation à la politique, etc.

Le monde du commerce est en train de profondément changer, P. Moati met à jour les grands axes de cette nouvelle révolution commerciale. D'un commerce naguère surtout préoccupé d'écouler efficacement des produits selon une logique industrielle de masse, des mécanismes, aujourd'hui, visent à mieux répondre à des attentes plus personnalisées : l'orientation-client.

Serge s'adresse au fantôme de son père pour lui parler de la Tunisie d'aujourd'hui. Il plonge au coeur de la révolution de Jasmin et relate l'espoir d'un peuple, en quête de liberté.

Fondé sur une multitude d'expériences nationales et culturelles, cet essai révèle un ordre du monde fondé sur les émotions. Il explique comment cet ordre s'est constitué et comment il détermine le présent et l'avenir.

La philosophe analyse l'altération du sens qui découle du libéralisme économique et du langage politique contemporain. Elle dénonce la manipulation des mots et des images par ceux qui gouvernent, contribuant à confisquer la parole des gouvernés et à délégitimer toute forme de "radicalité" dans l'action politique. Elle défend un verbe vivace, faisant appel aux ruptures constructives. ©Electre 2017

Dans ce livre, Serge Mongeau s'attarde en premier lieu la quête de la paix en soi: se réconcilier avec soi-même, avec son passé avec sa vie. Puis, il propose un champ d'action plus vaste: faire la paix autour de soi. Et, de la, bâtir un monde dont l'arme privilégiée est la paix.

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