Roman historique

Au printemps 1945, la Seconde Guerre mondiale s'achève à Berlin dans une extrême violence alors que l'Armée rouge envahit la ville, laissant la population face à deux totalitarismes. Ce roman historique est inspiré de témoignages recueillis par l'auteur lorsqu'il était réfugié en URSS et retrace la vie à Berlin des derniers jours du Reich jusqu'à l'insurrection anticommuniste de juin 1953.

Noël 1222. Jetée aux cochons par une nuit glacée, Isolde est recueillie quelques heures après sa naissance au château de Grand-Altier. Complice de celle qui devient rapidement sa maîtresse, elle déploie aux côtés de la jeune Azalaïs son don pour les fleurs et leurs parfums. Quand la châtelaine, passionnée de poésie, choisit la vie de troubadour, Isolde prend la route avec elle. Loin de son Gévaudan natal, elle découvre avec bonheur senteurs provençales et parfums d'Orient, sans imaginer qu'au bout de son voyage se cache peut-être le secret de sa naissance.

Au XVIIème siècle, le tragique et fascinant destin de Diane de Joannis, que l'on surnommait "la belle Provençale".

En 1839, Léonie d'Aunet, 19 ans, participe à l'expédition Spitzberg déguisée en homme. Amoureuse de Victor Hugo, avec lequel elle entretient une relation passionnelle, elle est arrêtée et envoyée en prison pour adultère, en 1845. Sous la forme d'une enquête, la narratrice part sur les traces de cette écrivaine fustigée par la société du XIXe siècle. ©Electre 2024

Résumé en cours

T'es où, Célestin? raconte le destin de Célestin Verdier, un cultivateur de Napierville devenu patriote durant les troubles de 1837-38 et des répercussions de son engagement, sur lui et sur sa famille. Ce roman rend hommage aux oubliés de l'histoire des Patriotes, les femmes et les enfants.

Héros de l'indépendance des Etats-Unis et fervent républicain, le marquis de La Fayette fut aussi l'ardent soupirant de la reine Marie-Antoinette. C'est ce double destin que s'attache à faire revivre ce roman.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, quand l’Allemagne occupait ce qui était à l’époque la Tchécoslovaquie, Terezin a servi de camp de concentration. Pour survivre à Terezin au cours de cette période sinistre, il fallait trouver un moyen, n’importe lequel, pour ne pas en être expulsé, puis il fallait tenir bon, malgré le bouillon clair distribué aux prisonniers midi et soir, malgré les punaises de lit et les poux, malgré les longues heures passées à faire des tâches fastidieuses, éreintantes, inhumaines. Inspirée par l’histoire de sa mère dans ce camp de la mort, Monique Polak raconte ici la vie d’une jeune fille emprisonnée à Terezin.

En automne de 1914, alors qu'il défile avec le régiment Princess Pat qui va défendre l'Empire, Lusignan ne se doute pas que les choses sont sur le point de changer à tout jamais. Il reviendra de la guerre sain et sauf, mais on ne peut en dire autant du monde dans lequel il a vécu jusque-là. Sur la terre française, labourée par les tranchées et par les bombes, il verra sa vie transformée. Non pas à cause de la mort de ses camarades, non plus à cause de son devoir, à titre d'interprète du régiment, d'annoncer cette mort aux familles éplorées. Ce qui bouleversera sa vie, ce sera de découvrir qu'il y a sur cette terre un homme qui exerce un tel ascendant sur lui qu'il sera prêt à s'agenouiller devant lui et à remettre sa vie entre ses mains. 2006.

Au Canada, contrée hivernale s'il en est, on appelle le « vol de l'ange » cet instant où marcheurs ou patineurs, ayant tout à coup perdu pied sur la glace, se mettent à battre des bras pour recouvrer l'équilibre. Gigue involontaire qui suscite l'admiration si l'on arrive à reprendre pied ; risées humiliantes et injustes si l'on tombe. On me dira que l'expression n'est pas très répandue, et pour cause : c'est moi qui l'ai inventée. Tout comme l'essentiel de ce roman. Ce qu'il y a d'authentique ici, en revanche, c'est le rituel de la mise aux enchères des enfants et des âgés qui se pratiquait au Nouveau-Brunswick de 1875 à 1925, dans ces eaux-là. Cette tradition, inhumaine à première vue, avait du bon, paraît-il : les démunis, orphelins ou vieillards, évitaient ainsi l'orphelinat ou l'hospice, lieux peu recommandables à l'époque, et trouvaient un toit et du travail ; pour leur part, les fermiers y gagnaient une main-d'oeuvre bon marché.

