Roman historique




Montréal, 1920. C'est avec une grande joie que Madeleine et Rosaire Lambert accueillent leur premier enfant, Paul, dans un appartement modeste d'un quartier ouvrier de la ville. Malgré leur petit revenu, les Lambert coulent des jours heureux voyant leur foyer s'agrandir. À l'aube de l'adolescence, Paul, l'aîné, très pieux et studieux, n'a toutefois d'yeux que pour la belle Rose.

Montréal, 1909. On a enseigné à Julien Beaudry à ne pas se mêler de la vie des autres. Toutefois, lorsque les fracas et les cris de sa voisine, Evelyne Maguire, s’intensifient, il balaie toutes les conventions et agit sans réfléchir. La situation tourne au drame et engendre d’inévitables répercussions dans l’entourage de Julien. Sa belle-sœur, Constance, s’empresse de consulter Simon Dupuis...

Montréal, 1944. Après avoir traversé des années troubles, le clan des Lambert coule maintenant des jours plus tranquilles. Henri est revenu du front depuis plusieurs mois, et Thérèse et Antoine semblent plus près l'un de l'autre. Rose et Paul souhaitent toujours agrandir leur famille, mais leur optimisme s'amenuise, tant et si bien que les convictions religieuses de Paul s’en voient ébranlées. Heureusement, des événements inattendus changeront le cours de leur vie, ouvrant de nouveau la porte à tous les espoirs. Mais ces derniers s’avèreront-ils vains, une fois de plus ? Quelles joies et peines le destin réserve-t-il aux Lambert pour les années d’après-guerre ?

Montréal, 1920. Évelyne Beaudry peine à se remettre de la mort de son mari. Heureusement, elle peut compter sur sa belle-sœur, Béatrice, pour l’héberger et l’aider à se reconstruire.

En 1187, Esclarmonde refuse de se marier. Contre l'avis de son père, elle veut s'offrir à Dieu. Enfermée dans une cellule près d'une chapelle, elle vit une expérience mystique douloureuse

En 1187, Esclarmonde refuse de se marier. Contre l'avis de son père, elle veut s'offrir à Dieu. Enfermée dans une cellule près d'une chapelle, elle vit une expérience mystique douloureuse

En septembre 1870, alors que Paris est assiégé par les Prussiens, de nombreux peintres décident de s'engager dans la Garde nationale. Parmi eux, Henri Regnault et sont ami Georges Clairin risquent leur vie pour briser le siège, au grand désarroi de Geneviève Bréton, la fiancée du premier. Une évocation des horreurs de la Commune de 1871 et de l'engagement des artistes durant cette période.

