Roman historique
Fin du XIXe siècle. Will se voit confier un gigantesque chantier d'adduction d'eau en Australie. Angelica le suit dans l'aventure.
En 1939, Gustav Kleinmann, un tapissier autrichien, est déporté avec son fils Fritz à Buchenwald pour y construire un camp de concentration. Lorsque, peu après, Gustav est transféré à Auschwitz, Fritz demande à le rejoindre malgré les dangers afin de rester avec son père. Une histoire tirée de faits réels.
Au lendemain de la mort de Philippe le Bel, Louis X le Hutin dont l'épouse Marguerite de Bourgogne est emprisonnée pour adultère, succède à un monarque exceptionnel. Dès les premiers jours du règne, deux clans se forment, opposant la haute noblesse féodale aux ministres du roi défunt. Tandis que la chrétienté attend un pape et que le peuple meurt de faim, les rivalités, les intrigues, les complots vont déchirer la cour de France et conduire barons, légistes, prélats, banquiers, et le roi, au fond d'une impasse dont ils ne pourront sortir que par le crime. La malédiction qui semble s'être abattue sur le royaume de France est-elle l'expression d'une colère divine ou la conséquence fatale des mauvaises actions humaines ?
Récit romancé et détaillé de la vie de ce grand conquérant de l'Antiquité. Fondée sur un travail de recherche historique, cette biographie épique est enrichie de nombreuses notes qui apportent des compléments d'information. Publié initialement en 1958.
Fresque historique où revit le XIVe siècle, entre le procès des templiers et les débuts de la guerre de Cent Ans. Le Roi de Fer a pour figure centrale le roi Philippe le Bel, monarque impitoyable mais qu'animait la volonté de l'unité nationale.
Un règne, celui de Louis X le Hutin, dont on ne fait guère état parce qu'il ne dura que dix-huit mois, dont les conséquences devaient être capitales pour la monarchie française. Les conflits, les intrigues, les haines et les crimes tissent les fils des destins : destin malheureux de Clémence de Hongrie arrivée en France pour y être reine et qui y restera veuve ; destins contrariés du jeune Lombard Guccio Baglioni et de Marie de Cressay, dont les amours se heurtent aux interdits sociaux ; destins violents de la comtesse Mahaut d'Artois et de son neveu Robert opposés par une inexpiable rivalité ; destin tragique de Louis X qui meurt empoisonné, en juin 1316, sans laisser un héritier mâle.
Le règne de Jean le Bon au milieu du XIVe siècle qui fut aussi vaniteux et cruel qu'indécis et incapable. On suit, à travers le récit d'un haut personnage de l'époque, le cardinal Talleyrand-Périgord, légat pontifical, l'évolution du règne.
En juin 1316, l'Église et la France, sans chef, sont exposées à la guerre civile ou au schisme. Un conclave ne parvient pas à élire un successeur au pape Clément V ; le roi Louis X le Hutin vient de mourir empoisonné. Un roi capétien disparaît sans avoir un fils qui lui succède au trône. La couronne ira-t-elle à la petite fille de cinq ans, soupçonnée de bâtardise, qui est issue du premier mariage avec Marguerite de Bourgogne ou sera-t-elle réservée à l'enfant dont la seconde épouse, Clémence de Hongrie, est enceinte ? Ce quatrième volume fait revivre les luttes acharnées que, par les armes, la procédure, les tractations, vont se livrer trois parents du roi mort : son frère le comte de Poitiers, son oncle le comte de Valois, son cousin le duc de Bourgogne. Afin de s'emparer de la régence, C'est le premier qui l'emportera, ayant réussi à faire élire un pape de son choix en murant les cardinaux dans une église de Lyon, à emprisonner son cousin Robert d'Artois et à éliminer du pouvoir ses rivaux. Pour préparer son accession au trône, il s'appuiera sur une prétendue loi, cette "loi des mâles" en vérité inventée qui constituera désormais le règlement de succession de la monarchie française.
Après la mort de Philippe V le Long, comme son frère Louis X le Hutin, mort sans descendance mâle, le troisième fils du Roi de Fer, le faible Charles IV le Bel, lui succède. La Louve de France, c'est le tragique surnom que les chroniqueurs donnèrent à la reine Isabelle, fille de Philippe IV le Bel, qui semblait avoir transporté outre-Manche la malédiction des templiers. Avec la mort de Charles IV le Bel s'éteint la dynastie capétienne.
Avec la mort de Charles IV le Bel s'éteint la dynastie capétienne. La branche Valois la remplace. On sait que cette accession des Valois au trône fut la cause de la guerre de Cent Ans. Cet enchaînement, mois après mois, des fatalités collectives et des actes individuels : Un personnage domine, anime ces années décisives pour l'Occident européen, le comte Robert d'Artois. Il s'est dépensé pour faire attribuer la couronne à son cousin Philippe de Valois, il attend qu'on lui rende le comté de ses aïeux. S'ouvre un procès où l'homme, pour soutenir son bon droit, use de faux, maquille des sceaux, suborne des témoins, ne recule ni devant le parjure ni devant les crimes, ni devant la guerre. Il ressurgira sur les marches de Westminster Hall pour prononcer, devant le roi Edouard III et le Parlement d'Angleterre assemblé, la harangue qui sera le Premier acte de la guerre de Cent Ans. il débarquera en Bretagne, pour y être blessé mortellement au siège de Vannes.