Philosophie
Le Jardin d’Épicure regroupe 75 textes d’Anatole France. L’auteur traite de multiples thèmes : les femmes, la religion, l’amour, les miracles, la métaphysique, la sagesse, l’immortalité de l’âme, les mots, les couvents, les livres, la peinture, tout cela au gré de sa fantaisie du moment.
L'écrivain livre en 327 courts chapitres un modèle éthique personnel forgé au cours des ans et influencé par ses études de philosophie, son engouement pour les stoïciens, sa pratique des arts martiaux et les notes des cours de maître Isogushi, ainsi que ses engagements, notamment en faveur de l'Afghanistan et du Kurdistan syrien. ©Electre 2019
Etude sur la mort de Dieu à l'oeuvre dans la pensée de Nietzsche et sur les relations entre philosophie, théologie et nihilisme.
Etude sur la pensée de Levinas à partir de l'obstacle nietzschéen du : Dieu est mort. Cet énoncé, qui marque l'accomplissement du nihilisme, porte sur toute l'histoire occidentale et ferme aussi l'accès à ce dont il suppose néammoins la compréhension. Comment définir cet accès s'il ne peut être observance de la loi ou reconnaissance de la foi ?
Dans la lignée de la tradition philosophique recherchant l'accomplissement humain, l'auteur suit le fil directeur de l'amour comme clé d'une vie pleine. Il énonce la forme la plus pure de l'amour, à l'aboutissement d'un parcours complexe, comme étant l'amour de soi, qui n'est lui-même rien d'autre que le désir qu'une personne a d'aimer.
"L'un des traits les plus caractéristiques de notre culture est l'omniprésence du baratin. "Ce court essai, dont le titre original est On bullshit, a toutes les apparences du sérieux, bien qu'il s'agisse d'une théorisation de ce que l'on appelle communément le baratin ou les conneries. L'un des plus grands philosophes américains, Harry Gordon Frankfurt (né en 1929), professeur émérite à Princeton, se penche sur le sujet : un petit livre de référence pour ne plus jamais confondre connerie avec fumisterie, foutaise, baliverne ou sornette, et repérer à coup sûr tous les baratineurs.
Une étude consacrée aux composantes masculines et féminines des contes de fées, respectivement symbolisées par l'animus et l'anima, deux concepts aux avatars variés : vieillards, princes, déesses, sorcières ou encore animaux. ©Electre 2019
A travers les oeuvres classiques de la philosophie (Homère, Sénèque, Platon, Aristote ou Epicure), l'auteur montre comment les sages nous ont transmis les moyens pour endiguer les désirs trop violents et apaiser les émotions trop fortes.
A. Camus écrit en 1949 au théologien et mystique suisse M. Zundel son souhait d'évoquer avec lui le problème du mal. L'auteur imagine ici la réponse que lui aurait faite ce dernier, dans laquelle il expose longuement sa conception du mal, mais aussi de la mort et de la souffrance. ©Electre 2017
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