Philosophie
Une vérité est-elle toujours bonne à dire ? Pouvons-nous être nous- mêmes ? De quoi avons-nous besoin pour bien vivre ou pour avancer vers une idée du bonheur ? Comment donner un sens à notre travail et à notre repos ? Quel lien existe-t-il entre l’amour et la beauté ? Avec La promesse de Juliette, une heureuse succession de courts essais à la fois simples et profonds, Mustapha Fahmi montre comment la littérature et la philosophie nous aident à nous comprendre et à lire le monde dans lequel nous vivons.
Résumé en cours
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L'auteur explore comment les différents siècles ont défini le bonheur, à travers les philosophies depuis l'Antiquité, les religions, les superstitions, la littérature, la sociologie. Pour chaque époque, il multiplie les citations, anciennes ou actuelles, afin de cerner la vision qu'il a de la période, ce qui donne à cet essai plus l'aspect d'une réflexion sur l'idée de bonheur à travers les âges que d'un livre d'histoire.
L'expérience de deux traditions bouddhistes (madhyamaka et dzogchen, la voie du milieu et la plénitude totale), associées à une étude approfondie de la psychologie et de la psychothérapie occidentale, permettent de découvrir que la sérénité et l'harmonie intérieure apparaissent quand l'Homme est ouvert au courant de son existence.
Dans cet ouvrage de vulgarisation, cinq grands moments de l'histoire de la philosophie sont abordés.
Une histoire de la philosophie de l'Antiquité au XXIe siècle à travers les figures majeures de la discipline. L. Ferry donne des clés pour comprendre leur pensée, explique les concepts difficiles et les illustrent de nombreuses citations.
Les changements récents de la société, notamment les contestations multiples, la déconstruction des valeurs traditionnelles et la sacralisation de l'humain pourraient, selon l'auteur, réenchanter le monde en permettant aux individus de devenir optimistes.
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Considérant le début du XXIe siècle comme l'ère du transhumanisme, l'auteur examine ce qu'il estime être les réponses spirituelles face à cette tendance. D'une part ce qu'il appelle la bonheurisation du monde, héritière selon lui de Foucault, de l'épicurisme et du stoïcisme, qui est en fait une résignation. De l'autre, une sagesse centrée sur la perfectibilité infinie pour chercher la vérité.
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