Philosophie
P.P. Pasolini s'inquiétait de la disparition des lucioles, ces lueurs survivantes des contre-pouvoirs tandis que, plus récemment, G. Agamben se penchait sur la destruction de l'expérience. Il faut organiser le pessimisme, conseillait W. Benjamin. Les images aussi, ajoute l'auteur de cette réflexion déclinée autour de cinq thèmes : Enfer, Survivance, Apocalypses, Peuples, Destructions, Images.
" Platon fit un jour, dit-on, des reproches à un homme qui jouait aux dés. L'autre lui répondit qu'il s'emportait pour bien peu de chose et Platon lui dit : " Mais l'habitude d'y jouer n'est pas peu de chose. " Comme on lui demandait s'il laisserait quelque parole mémorable comme les anciens, il répondit : " Il faut d'abord lasser un nom, ensuite les paroles mémorables abonderont. "
" Platon fit un jour, dit-on, des reproches à un homme qui jouait aux dés. L'autre lui répondit qu'il s'emportait pour bien peu de chose et Platon lui dit : " Mais l'habitude d'y jouer n'est pas peu de chose. " Comme on lui demandait s'il laisserait quelque parole mémorable comme les anciens, il répondit : " Il faut d'abord lasser un nom, ensuite les paroles mémorables abonderont. "
Nietzsche est philosophe et philologue prussien. Son oeuvre se rattache principalement à la métaphysique. Lu par l'auteur.
Ce qui est, est deux fois : une fois comme être générique, une fois comme être singularisé par ses manières. Mais tant que les manières d'être continuent de renvoyer à un être qui les possèdent, tant qu'elles ne sont pas substantialisées, hypostasiées, pour devenir le tout de l'être, la singularité se perd comme se perdent les vagues qui ne se soulèvent au-dessus de la mer que pour mieux y retomber. Pour saisir chacune d'elles dans la singularité de son roulement, il faut voler à l'océan sa substantialité pour la confier à la seule écume qui en déforme la surface. Ce qui suit est l'histoire de ce rapt ontologique. Il consiste à arracher les manières à l'être auquel elles semblent appartenir de droit, pour les charger du poids ontologique qui d'ordinaire revient à la substance.
En 1623, suite à une attaque de typhus, Donne tomba gravement malade. Il rédige alors ces Méditations dans lesquelles il reprend les thèmes de la maladie et de la mort qui parcourent son oeuvre. Description des symptômes du typhus, rappel de la dégradation de la matière, le tout en relation avec une réflexion éthique sur la variabilité de la destinée humaine.
Le philosophe R.P. Droit et le neurologue Y. Agid dialoguent autour du thème de la marche. Ils établissent des similitudes entre les effets de la marche physique et ceux de la pensée sur le fonctionnement du cerveau. Ils s'appuient sur leurs expériences personnelles et les recherches récentes en neurosciences, en neurophysiologie ou encore en imagerie fonctionnelle du cerveau.
Aborde la question du bonheur en philosophie, qui apparaît pour beaucoup comme le but ultime de la philosophie. L'auteur insiste sur le fait que cette croyance est illusoire et s'avère néfaste pour ceux qui y adhèrent
Tout le monde s'interroge sur le sens de la vie, sur la mort, la justice, la liberte... La philosophie n'est pas un casse-tete. Chacun est capable de raisonner, d'organiser ses idees.
Une histoire de la philosophie qui met en avant la relation entre la pensée et le corps en mouvement à travers 26 exemples de philosophes marcheurs, de la Grèce antique à aujourd'hui. Récits et anecdotes s'accompagnent d'une réflexion sur le sens profond de la marche à pied.