Philosophie
Une réflexion consacrée à la capacité de la philosophie à aborder les peines et à leur prodiguer des soulagements. L'auteur explore le décalage entre les grands édifices métaphysiques et la singularité des douleurs et s'interroge sur ce que serait aujourd'hui une consolation philosophique. ©Electre 2020
Je suis heureux. Est-ce que celà va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Avec une espèce de culot candide, Philippe Delerm s'obstine à nous rendre heureux malgré nous.
Des lettres du philosophe adressées à ses contemporains (M. Foucault, P. Klossowski, F. Châtelet, C. Rosset, F. Guattari, etc.), qui éclairent son oeuvre d'un point de vue inédit. L'ouvrage rassemble aussi des essais de jeunesse et des dessins. ©Electre 2022
Gilles Deleuze et Felix Guattari nous expliquent les fondements de la philosophie.
Synthèse sur le thème du libre arbitre, croisant les approches philosophique, religieuse, scientifique et politique. Après avoir exposé les arguments qui défendent l'existence du libre arbitre face au déterminisme, l'auteur interroge son influence sur l'histoire des hommes et des civilisations, et affirme l'importance de la liberté humaine dans l'évolution du monde. ©Electre 2022
Tommaso Campanella, fils d'un Calabrais analphabète, devint un philosophe et théologien de renom. Entré dans l'ordre dominicain à 14 ans, ses écrits lui valent d'être torturé par l'Inquisition puis emprisonné longtemps. Après sa libération des prisons napolitaines, il devint l'astrologue d'Urbain VIII et conseiller de Richelieu les dernières années de sa vie. Prix de la biographie du Point 2009.
"À la croisée de l'humour populaire et de la sagesse spirituelle, ces Histoires d'humour et de sagesse proviennent des quatre coins du monde. Anthony de Mello, maître conteur, les utilisait pour surprendre, charmer ou détendre son auditoire. Mais il y voyait avant tout un moyen de stimuler la réflexion et d'alimenter la méditation. "Vous pouvez bien les lire pour vous amuser, remarquait-il, mais rien ne garantit qu'une histoire ou l'autre ne se glissera pas derrière votre système de défense pour faire explosion au moment où vous vous y attendez le moins." -- 4e de couv.
Gérer des biens ou administrer des organisations ne relèvent pas d'actes qui se suffisent à eux-mêmes. Ils procèdent d'un principe supérieur, lequel les justifie dans la mesure où on lui prête foi. Une profession de foi est donc de rigueur pour fonder les principes qui confèrent de la cohérence aux menus gestes par lesquels nous nous structurons tous les jours. À ce rapport interactif entre la croyance, l'autorité et l'action, les Pères de l'Église ont donné le nom d'« économie ». Une économie de la foi, qui fonde notre matrice institutionnelle depuis le début de notre ère. Cette économie porte en elle l'exigence de penser ce que tout principe doit à l'intimité des sujets pour s'incarner dans le monde. Elle relève d'une gravité et d'une profondeur que la science économique moderne n'arrive en rien à imaginer.
L'expression «économie de la nature» a surgi dans le vocabulaire des sciences au XVIIIe siècle bien avant que le néologisme «écologie» ne s'impose à nous, plus d'un siècle et demi plus tard. Chez Carl von Linné, Gilbert White ou Charles Darwin, l'économie de la nature désigne l'organisation des relations entre les espèces au vu du climat, du territoire et de leur évolution. Cette économie pense l'imbrication des espèces, y compris les êtres humains, dans un réseau d'interactions incommensurables et impondérables. Mais très vite, les physiocrates, les premiers «économistes», la dévoient pour fonder une science de l'agriculture subordonnée à de prétendues lois du marché. Un détournement dont nous pâtissons jusqu'à ce jour.
Une approche des notions fondamentales de la philosophie à travers les super-héros : Superman et Kant ou encore le complexe d'Oedipe de Dark Vador. ©Electre 2019
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