France
Une synthèse du régime de Vichy, de la révolution nationale, de la politique de collaboration, de l'évolution du régime et son influence sur les Français.
Les mémoires de Louise Michel (1830-1905) dans lesquelles elle raconte son enfance campagnarde, ses débuts d'institutrice avant 1870, sa lutte pour élever les enfants des quartiers pauvres ou ses actes militants sous la Commune, témoignant ainsi de la vie ouvrière à Paris à la fin du second Empire.
En 1515, la défaite des Suisses à Marignan contre François Ier marque la fin de leur expansion européenne et met en évidence les faiblesses de leurs institutions. Les confédérés prennent alors conscience de la nécessité d'une union entre les cantons et de définir une politique commune afin de faire face aux puissances qui les entourent
Ces portraits de femmes étant passées par Saint-Germain-en-Laye au cours du XIXe siècle évoquent tour à tour Ourika, esclave africaine offerte à la princesse de Beauvau, la reine Victoria, invitée à une fête par Napoléon III, Louise Michel et ses conférences au Casino, Emilie Lamotte, l'institutrice anarchiste ou encore Ranavalona, reine de Madagascar détrônée en exil. ©Electre 2019
Mise en miroir de la vie de J. Moulin et de R. Bousquet, tous deux issus du même milieu républicain et franc-maçon, qui allaient suivre sous la Seconde Guerre mondiale une trajectoire diamétralement opposée. Cette double biographie éclaire les attitudes ambigües de ces personnalités, telle l'obéissance initiale de J. Moulin aux ordres de Vichy, ou l'aide apportée par R. Bousquet à des résistants.
L'auteur dépoussière l'image semi-mythique de Du Guesclin, pour montrer le rôle et la personnalité de ce petit noble, qui connut une ascension sociale exceptionnelle et dont Charles V fit un connétable de France.
Cette biographie revisite la vie et le règne de Charles le Téméraire qui a gouverné par la peur et a été capable des pires atrocités, comme la destruction de Liège. Il subit deux défaites contre les Suisses, avant de périr dans la neige, devant Nancy, en 1477. Sa chute signe la mort de la féodalité au profit du royaume de France.
La vie au quotidien d'une modeste mère de famille dans la Savoie du début du XXe siècle.
Durant la Première Guerre mondiale, de nombreux fantassins appelés "poilus" seront sacrifiés. L'historien Pierre Miquel retrace ici quatre années de souffrances, d'offensives meurtrières et d'horreurs vécues tout en dénonçant aussi quelques mythes. Durant les batailles de 1914 et en 1916 à Verdun, il n'y a pas de tranchées...
A partir du 21 février 1916, Verdun va devenir le champ de bataille le plus meurtrier qu'aura connu la Première Guerre mondiale avec les 700.000 hommes qui vont y être tués, blessés ou portés disparus. Le quotidien des tranchées et des combats y est relaté et c'est à partir de ce moment qu'on va connaître la mort industrielle.