Ecrivains et histoire de la littérature
Ce pamphlet contre les « chaises berçantes » de la littérature québécoise propose une critique radicale d’une littérature positivée, commerciale, soumise aux liturgies publicitaires de la consommation.
Denis Tillinac évoque sur un mode intimiste teinté de désenchantement ses années Chirac et son expérience d'éditeur et d'écrivain au coeur du Quartier latin à Paris. Il décrit notamment sa tristesse de voir le livre se transformer en produit commercial, sa rencontre avec Cossery et Cioran ou encore ses séjours en Corrèze.
Une approche de Simenon et de son oeuvre.
La vie d’Albert Camus, écrivain, dramaturge, essayiste du XXe siècle et prix Nobel de littérature en 1957.
Retrace et analyse la vie d'André Malraux. Aucune question n'est éludée. Son enfance, qu'il disait détester, fut-elle malheureuse ? A-t-il été révolutionnaire ? En quoi ? Fut-il résistant et gaulliste aussi tôt qu'on le dit ? Avec passion ou par calcul ? Ministre efficace ou rêveur ? Ce livre s'appuie sur des témoignages et des documents souvent inédits.
La vie d’Albert Camus, écrivain, dramaturge, essayiste du XXe siècle et prix Nobel de littérature en 1957.
La psychanalyste retrace la vie du romancier et essayiste anglais et présente son oeuvre composée de romans, d'essais littéraires et philosophiques, d'études sur des phénomènes religieux, et en particulier l'expérience mystique.
Pour Todorov, la littérature est le meilleur moyen de connaître le monde humain et elle peut apprendre à mieux vivre. Selon lui, en France, une conception étriquée de la littérature s'est imposée ces dernières années. Evoquant quelques auteurs-clés, Todorov révèle les sources anciennes de l'image de la littérature, du temps des Lumières, chez les romantiques ou dans les avant-gardes du XXe siècle.
Une histoire du genre fantastique à travers ses représentants comme Nerval ou Gautier. Anciennes éditions Introduction à la littérature fantastique (1976)
Peu à peu se format en moi l'image d'une autre George Sand, inconnue en somme. Pour la voir telle qu'elle fut, il fallait appliquer la définition nouvelle de la femme que les règles de vie en notre XXe siècle ont rendue enfin non paradoxale... Cette clef m'ouvrait aussi une autre porte... Pourquoi les romans de George Sand étaient-ils devenus illisibles, pourquoi son Histoire de ma vie et sa correspondance ont-elles au contraire le ton des œuvres durables ? C'est que, dans les premiers, elle joue à l'homme-écrivain, cédant au goût du jour, tandis que dans les secondes elle est elle-même, une femme qui simplement s'exprime en femme...