Comprendre le monde

Le régime prosoviétique de Kaboul vu depuis ses prisons par un médecin parti soigner les populations afghanes atteintes par la guerre. Au jour le jour, le récit de cinq mois de cellule avec la machination qui devait aboutir au procès politique.

Cet ouvrage réunit la plus grande partie du Nouveau Testament. Ces textes sacrés pour les chrétiens délivrent l'enseignement et la vie de Jésus-Christ.

Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.

Né en Afrique au IVe siècle, Augustin mène une jeunesse de plaisirs et d'insouciance jusqu'à l'âge de 32 ans. En quête de Dieu, il finit par le découvrir en lui-même. C'est de cette façon-là qu'il aura une nouvelle compréhension du mal, du temps et du monde.

L'idée maîtresse, à l'origine de ce travail, a été de restituer dans une écriture contemporaine les paradoxes du texte et de la langue d'Augustin. La traduction veut faire entendre la modernité du texte augustinien, dans lequel les figures de l'aveu et de la confession sont au service de l'invention de soi.

Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.

Ces textes extraits des Confessions, livres XI et XII posent des questions essentielles auxquelles Saint Augustin tente de répondre avec une foi profonde alliée à un grand bon sens.

Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.

Cinq spécialistes étudient des thèmes particuliers autour du désir sexuel et des pratiques qui en découlent, à partir de théories à la fois psychanalytiques et anthropologiques : le fétichisme, le couple pervers, l'érotomanie, la féminité et le phantasme.

L'historique de la liturgie de la messe depuis le concile Vatican II : Mgr Lefebre et la fraternité sacerdotale Saint Pie X, leurs relations avec le Vatican, de Paul VI à Benoît XVI.
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