Comprendre le monde

Confronté aux complotistes qui, sur les réseaux sociaux, critiquent son travail de fact-checker, le journaliste s'est efforcé de les comprendre en questionnant des dizaines d'entre eux, stars du web ou simples anonymes, sur leur parcours, leur rapport au monde et leurs aspirations. Il montre que c'est souvent d'une soif de justice sociale que provient leur attrait pour ces théories.

Après un état des lieux sur les progrès des sciences et de la technologie en lien avec la mondialisation, l'anthropologue fait le constat d'une phase de transition vers une société planétaire en voie d'unification

Fondées sur l'expérience personnelle de l'anthropologue, des réflexions sur les bonheurs du quotidien, reflets du rapport à soi, aux autres et au monde, qui participent à la construction de l'identité et à la constitution symbolique de l'être humain.

L'auteur apporte son éclairage à l'anthropologie, balayant les stéréotypes qui lui sont rattachés et plaidant pour une anthropologie élargie. Il revisite notamment les thèmes classiques de cette matière : notions de personne, d'espace, nouveaux rituels, genre, pouvoir, etc., à la lumière de la globalisation des échanges.

L'auteur s'intéresse surtout à la jalousie "normale", quotidienne, celle que nous avons tous ressentie. Si être en proie a la jalousie provoque toujours la souffrance, cela ne tous transforment pas pour autant en désaxés. Il s'agit simplement d'un signal d'alarme.

L'histoire des hommes est truffée de défis, d'épreuves, d'innovations, bref de bouleversements, petits et grands, auxquels nous tentons de faire face comme on le peut, au moment où ils surviennent. Qu'il s'agisse de nouvelles technologies, de découvertes scientifiques, de conquêtes, de modes ou même de conflits, ces étapes sur la ligne du temps marque une adaptation, un passage de l'ancien vers du nouveau, du connu vers du moins connu. Autant d'occasions « d'apprendre à vivre » ! Si le poète Louis Aragon prônait en 1946, dans La Diane française, que « le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard », Lucien Auger tente, dans ce livre, de nous faire découvrir qu'il n'est « jamais » trop tard. Jamais trop tard pour changer d'opinion ou d'habitude. Que ce soit tôt ou à un âge avancé, il n'est jamais trop tard pour vivre NOTRE vie autrement. Comment y arriver ? Tout simplement, en sachant que les idées que nous avons en tête causent les émotions que nous « vivons » !

Cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui se proposent, par leur communication, d'aider leurs interlocuteurs à libérer en eux-mêmes leurs forces d'épanouissement et de croissance. Parents, enseignants, aides sociaux, médecins, infirmières, membres du clergé, conseillers, animateurs, directeurs et agents du personnel : autant de personnes qui, par le dialogue, peuvent aider ou nuire à la libération personnelle de ceux qui font appel à elles.

Un petit livre de sagesse, écrit simplement, à la portée d'un large public. Dans sa démarche vers le bonheur, chacun fait ses faux-pas, malgré les conseils des aînés. L'auteur analyse et dénonce une trentaine de "sottises", ce qui constitue autant de petits chapitres concrets et propices à la réflexion.

Dans un style clair et accessible, l'auteur décrit les formes et les mécanismes des peurs qui nous hantent. Toutes ces peurs qui empoisonnent nos vies : de la peur de la solitude à la peur de mourir, en passant par la peur de l'opinion des autres et celles d'échouer ou de ne pas être aimé. L'anxiété est un phénomène universel et l'auteur nous invite à en démonter les rouages, à comprendre ce qui la provoque, à étudier comment elle se développe et à considérer les conséquences qu'elle peut avoir dans notre vie.

Ce livre est un ouvrage clé pour qui veut se donner la peine d'apprendre à vivre parmi les autres, en équilibre avec soi-même. Il veut donner une réponse à cette question qui préoccupe tant la majorité des gens: "mes actes doivent-ils obéir à ma raison ou à mes émotions?"
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