Comprendre le monde
Ce livre est un ouvrage clé pour qui veut se donner la peine d'apprendre à vivre parmi les autres, en équilibre avec soi-même. Il veut donner une réponse à cette question qui préoccupe tant la majorité des gens: "mes actes doivent-ils obéir à ma raison ou à mes émotions?"
Un petit livre de sagesse, écrit simplement, à la portée d'un large public. Dans sa démarche vers le bonheur, chacun fait ses faux-pas, malgré les conseils des aînés. L'auteur analyse et dénonce une trentaine de "sottises", ce qui constitue autant de petits chapitres concrets et propices à la réflexion.
L'histoire des hommes est truffée de défis, d'épreuves, d'innovations, bref de bouleversements, petits et grands, auxquels nous tentons de faire face comme on le peut, au moment où ils surviennent. Qu'il s'agisse de nouvelles technologies, de découvertes scientifiques, de conquêtes, de modes ou même de conflits, ces étapes sur la ligne du temps marque une adaptation, un passage de l'ancien vers du nouveau, du connu vers du moins connu. Autant d'occasions « d'apprendre à vivre » ! Si le poète Louis Aragon prônait en 1946, dans La Diane française, que « le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard », Lucien Auger tente, dans ce livre, de nous faire découvrir qu'il n'est « jamais » trop tard. Jamais trop tard pour changer d'opinion ou d'habitude. Que ce soit tôt ou à un âge avancé, il n'est jamais trop tard pour vivre NOTRE vie autrement. Comment y arriver ? Tout simplement, en sachant que les idées que nous avons en tête causent les émotions que nous « vivons » !
L'auteur, journaliste au Journal de Montréal, raconte en détails l'attentat perpétré contre lui le 13 septembre 2000 et explique pourquoi les bandes de motards criminalisées en sont venues à le considérer comme une personne à abattre.
Récit de l'élaboration de la plainte contre le cimentier Lafarge pour financement d'organisations terroristes, mise en danger d'autrui et complicité de crimes contre l'humanité par un groupe de femmes, juristes et avocates. Elles ont, avec des moyens dérisoires, enquêté et révélé ces faits, afin de lutter contre l'impunité de l'entreprise et de tenir pour responsable une personne morale. ©Electre 2024
Au cours d'une conversation qui s'étend sur une année et à l'heure où ont lieu des procès pour les crimes commis en Syrie, l'auteure s'entretient avec l'intellectuel Y. al-Haj Saleh. Ensemble, ils abordent les questions de la survie et de l'exil, les refuges de la pensée, les points de contact entre la tragédie syrienne et l'histoire européenne.
Eté 1988, S. Augier, journaliste reporter, animateur de radio et de télévision, est victime d'un accident de parapente. De ses débuts au succès de ses émissions, il revient sur son parcours, dans lequel souffrance physique et souffrance psychique se côtoient, tout en délivrant un message d'espoir.
Le régime prosoviétique de Kaboul vu depuis ses prisons par un médecin parti soigner les populations afghanes atteintes par la guerre. Au jour le jour, le récit de cinq mois de cellule avec la machination qui devait aboutir au procès politique.
Cet ouvrage réunit la plus grande partie du Nouveau Testament. Ces textes sacrés pour les chrétiens délivrent l'enseignement et la vie de Jésus-Christ.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.