Afrique
Cette synthèse de l'histoire des traites esclavagistes depuis l'Afrique subsaharienne présente les différentes routes empruntées par les esclaves vers l'Afrique du Nord, la Méditerranée, l'Atlantique, les Caraïbes ou les Amériques, entre le VIe et le XXe siècle. Un éclairage sur les diasporas d'esclaves de par le monde. ©Electre 2018
Présentation de l'histoire africaine subsaharienne avec ses étapes cruciales et pour chacune d'elles, quelques idées fondamentales qui s'attachent à déconstruire le cliché qui fait de l'Afrique un continent subalterne dans l'imaginaire occidental.
1er novembre 1954 : flambée de violence en Algérie. Un mouvement insurrectionnel concerté vient, pour la première fois depuis le débarquement de 1830, de s'attaquer à la forteresse de la colonisation française ! Yves Courrière, grand reporter, commence à couvrir la guerre d'Algérie. Dès 1967, il entreprend d'en raconter les différents épisodes. Du déclenchement du conflit, en 1954, aux années 57 où le conflit armé est à son apogée, des années 58, au coeur de la guérilla, aux accords d'Evian le 19 mars 1962, il nous fait découvrir, avec la force d'un récit puisé aussi sur le terrain, le véritable rôle, le vrai visage d'hommes qui ont marqué l'histoire de cette guerre fratricide. En 1966, Yves Courrière a reçu le prix Albert-Londre du meilleur reportage, et il a été couronné en 1970 par l'Académie française. Le premier volume parcourt les années 1954 à 1955.
Le Temps des léopards couvre la période qui s'étend de 1955 au 30 septembre 1957.
L'heure des colonels sonne à la grande horloge de l'Histoire de 1957 au début de l'année 1960.
L'heure des colonels sonne à la grande horloge de l'Histoire de 1957 au début de l'année 1960.
En février 2019, de jeunes Algériens s'opposent au pouvoir en place et mènent une révolte en vue d'instituer une démocratie. Les deux auteurs analysent ce mouvement, en le replaçant dans un contexte historique et politique, avant d'établir un schéma qui se multiplie dans le bassin méditerranéen afin de combattre l'obscurantisme, l'intégrisme et la corruption. ©Electre 2020
Le lieutenant-général Roméo Dallaire rentrait du Rwanda en septembre 1994 après y avoir assumé le commandement de la force de maintien de la paix des Nations Unies. Son retour au pays marqua le début d'un nouveau cauchemar. S'il avait laissé derrière lui le génocide rwandais - ses huit cent mille morts et ses millions de victimes -, son souvenir, de même que la douleur d'avoir perdu en cours de mission quatorze militaires sous ses ordres, allait commencer à le torturer. Il lui faudra sept ans avant de pouvoir commencer à écrire sur ce sujet. À travers le récit de ce témoignage douloureux s'esquissent l'aveu d'un échec ainsi qu'une critique des forces internationales. J'ai serré la main du diable est un cri du coeur contre l'indifférence.
Le lieutenant-général Roméo Dallaire rentrait du Rwanda en septembre 1994 après y avoir assumé le commandement de la force de maintien de la paix des Nations Unies. Son retour au pays marqua le début d'un nouveau cauchemar. S'il avait laissé derrière lui le génocide rwandais - ses huit cent mille morts et ses millions de victimes -, son souvenir, de même que la douleur d'avoir perdu en cours de mission quatorze militaires sous ses ordres, allait commencer à le torturer. Il lui faudra sept ans avant de pouvoir commencer à écrire sur ce sujet. À travers le récit de ce témoignage douloureux s'esquissent l'aveu d'un échec ainsi qu'une critique des forces internationales. J'ai serré la main du diable est un cri du coeur contre l'indifférence.
Après les accords d'Evian en 1962, des dizaines de milliers de pieds-noirs restèrent vivre en Algérie. Confrontés à la guerre civile, il décidèrent vingt à trente ans plus tard de finalement revenir en France. P. Daum a recueilli leurs témoignages.