Éloigné de Paris depuis plusieurs mois à la suite de mauvaises affaires, Saccard est bien décidé, à cinquante ans, à refaire fortune et à redevenir un des maîtres de la Bourse.
Deux soldats se lient d'amitié durant la guerre de 1870. Jean Macquart incarne les valeurs rurales alors que Maurice Levasseur est plutôt intellectuel.
A Plassans, berceau provençal de sa famille, tandis que le Second Empire est tombé depuis deux ans, Pascal Rougon vit auprès de sa nièce Clotilde qu'il a élevée et qu'il adore. Ses temps libres sont destinés à des recherches médicales sur l'hérédité, et notamment sur l'histoire des Rougon-Macquart dont il a constitué l'arbre généalogique.
Dans le quartier parisien des Halles, le retour de Florent, le proscrit, parmi les siens et son rejet progressif du monde bourgeois, jusqu'à sa dénonciation et son arrestation.
Plassans, lieu originel de la saga des Rougon-Macquart. Il faut battre l'opposition royaliste : Faujas, un prêtre machiavélique, fera l'affaire... Texte intégral accompagné d'un dossier proposant un parcours parmi les figures littéraires de prêtres et de dévotes du XIXe siècle.
Près d'Arromanches, la famille Chanteau a recueilli Pauline, une petite cousine de 10 ans devenue orpheline. Généreuse, la petite remplit le foyer de bonheur, mais alors que l'enfant grandit, les crises de goutte de l'oncle Chanteau se multiplient, la santé mentale de son fils Lazare se détériore et l'héritage de Pauline est dilapidé par ses tuteurs.
Trouvée transie de froid au pied de la cathédrale et recueillie par le couple Hubert, Angélique Rougon grandit entourée d'amour. Ses bienfaiteurs sont brodeurs. Leur profonde et sincère piété s'exprime dans leur travail et dans les broderies dont ils parent les vêtements et ornements ecclésiastiques destinés à la cathédrale. Angélique est un modèle d'obéissance et de renoncement. Fine brodeuse, elle travaille aux côtés des Hubert dans leur atelier. Jeune filLe rêveuse, elle attend un amour immense.
Jean, le frère de Gervaise, est valet de ferme en Beauce. Il aime et veut épouser une fière gamine, Françoise, mais le beau-frère de celle-ci, le fruste Buteau, multiplie les obstacles.
Une peinture sociale de la mort en cinq tableaux ; texte assez lugubre, certes, mais ô combien réaliste, décrivant les derniers jours d’un noble, d’un bourgeois, d’une commerçante, d’un fils d’ouvrier et d’un paysan.