Sur le fond des grands événements du début du XIXe siècle, s'inscrivent les chroniques de deux familles appartenant à la noblesse russe, les Bolkonski et les Rostov. Cette traduction se fonde sur la version de 1873. Edition publiée à l'occasion de l'année de la Russie en France et du centenaire de la mort de l'écrivain.
La peinture de la ruine, de la corruption et des meurtres, dans ce monde de paysans, se termine par la rédemption contagieuse d’un grand coupable et les conseils chrétiens de charité et d’amour du prochain, thèmes chers à Tolstoï.
Léon Tolstoï a vu le corps déchiqueté de la maîtresse de son voisin, qui s’était jetée sous un train. C’est la source de ce roman-fleuve, réaliste, d’amour tragique qui nous offre un vaste tableau de la société russe, sous les tsars, à la fin du XIXe siècle, au moment où les idées libérales de l’occident commençaient à détruire les vieilles traditions.
Léon Tolstoï a vu le corps déchiqueté de la maîtresse de son voisin, qui s’était jetée sous un train. C’est la source de ce roman-fleuve, réaliste, d’amour tragique qui nous offre un vaste tableau de la société russe, sous les tsars, à la fin du XIXe siècle, au moment où les idées libérales de l’occident commençaient à détruire les vieilles traditions.
Sur le fond des grands événements du début du XIXe siècle, s'inscrivent les chroniques de deux familles appartenant à la noblesse russe, les Bolkonski et les Rostov. Cette traduction se fonde sur la version de 1873. Edition publiée à l'occasion de l'année de la Russie en France et du centenaire de la mort de l'écrivain.
« Ivan Chtcherbakov n’avait qu’à se laisser vivre ainsi avec ses enfants. Malheureusement, près de sa maison, se trouvait la maison de son voisin Gavrilo le boiteux, fils de Gordey Ivanov ; la haine s’était mise entre eux."