En 1985, R. Secher soutient à la Sorbonne une thèse dans laquelle il démontre, documents à l'appui, que la répression de la Vendée par la Convention est un génocide. Publiée en pleine préparation du bicentenaire de la Révolution française, cette thèse vaudra au chercheur sa carrière d'universitaire. Il revient ici sur les polémiques qu'elle a soulevées.
Une étude consacrée à la description et à l'analyse du génocide commis en Vendée par la Convention. Dans un second temps, l'auteur explique, à travers l'exemple de la Vendée, les mécanismes du mémoricide qui conduisent au déni et au négationnisme et dont les conclusions s'appliquent aux crimes commis par tous les systèmes totalitaires du XXe siècle.