Le 26 janvier 1914, par l'intermédiaire de son éditeur, Rilke, qui habite alors Paris, reçoit une lettre d'une inconnue. Elle est Viennoise, pianiste et s'appelle Magda von Hattinberg. C'est le début d'une correspondance passionnée.
Composés entre 1912 et 1922 au château de Duino, non loin de Trieste, ces poèmes sont une réflexion sur la mort, condition de l'éternité de l'homme dont seule l'acceptation permet de vivre pleinement l'existence.
Un jeune danois à Paris tente vainement d'y affronter les éléments insaisissables de cette vie. C'est Paris en effet, qui devait réveiller les angoisses intimes de Rilke.
Une messe d'enterrement, un hospice de vieillards, deux soeurs liées par la haine, des malades et des personnages médiocres, etc. : onze nouvelles qui révèlent le grotesque et la drôlerie des moments et des caractères les plus pathétiques.
Réunit les lettres échangées pendant quelques mois par les trois auteurs, liés par leur admiration réciproque, alors que B.L. Pasternak était à Moscou, M.I. Tsvetaeva émigrée en France et R.M. Rilke mourant en Suisse.
La correspondance du poète allemand avec Anita Forrer, une jeune Suissesse admirative de son oeuvre. Les lettres échangées portent sur les joies et les peines de la jeune femme, pour qui Rilke devient un professeur, un guide dans sa vie d'adulte.