Pourquoi ne pas opter, si on peut se les payer, pour le confort et la facilité ? Repas fournis, fauteuils de cuir blanc cassé dans le hall, vue imprenable sur le mont Royal, cela ne vaut-il pas mieux que de s'échiner à entretenir une maison ? C'est ce que croit Jacqueline Laflamme, grand reporter à la retraite, lorsqu'elle emménage au Bel Âge, élégante résidence pour personnes âgées à Outremont. Le hic, c'est qu'il y a des règles dans une résidence. On ne peut pas, par exemple, s'asseoir avec qui on veut pour les repas.
Louise Durand est grand reporter pour un quotidien montréalais. Elle a la sensibilité à fleur de peau d'une femme qui a été témoin de trop de tragédies et la combativité de celle qui doit, pour survivre dans son milieu où la concurrence est féroce, donner plus de coups qu'elle n'en reçoit. Sa meilleure amie, Carole, est chef de cabinet du maire de Montréal. Si Louise, qui est en couple, a toujours refusé la maternité, Carole, veuve depuis quelques années, se sent de plus en plus attirée par l'idée d'avoir des enfants.
Ce livre parle d'un homme, Stephen, atteint de la maladie de Lou Gehrig, une maladie dégénérative où le patient meurt en toute lucidité, emmuré dans un corps paralysé. Écrit à quatre mains, Histoire d'une vie trop courte raconte la lutte de Stephen contre la mort à travers les yeux de sa femme, Marie-Josée, qui l'a accompagné jusqu'à la fin. Malgré tout. Car ce couple, qui s'est aimé puis détesté, a connu des déchirements. Après leur séparation, ils se sont livrés un combat féroce pour la garde de leur fille.
Pendant vingt-cinq ans, Michèle Ouimet a parcouru la planète. Du Rwanda à l'Arabie saoudite, en passant par l'Iran, le Pakistan, l'Afghanistan, la Syrie, le Mali, l'Égypte, elle a couvert les guerres, les révolutions, les désastres naturels. Elle nous donne ici le passionnant récit de sa carrière de grand reporter international, nous laissant voir les coulisses du métier. Elle, québécoise, féministe, athée, nous entraîne sous la tente de seigneurs de guerre et sur les traces de djihadistes qui refusent de la regarder parce qu'elle est une femme.