Le paradoxe français tient à ce que tout en ayant été l’un des pays les plus collaborateurs de l’Europe, la France de Vichy enregistre un bilan relativement bas concernant le nombre des victimes. L’auteur montre que c’est précisément à sa complicité avec le régime nazi que Vichy doit d’avoir pu protéger les juifs français au détriment d’une partie des juifs étrangers.