Sciences politiques et économiques
La mise en place de dispositifs de surveillance s'est accrue pour contrôler la progression de la pandémie de Covid-19. L'auteur examine comment les acteurs de l'économie de la surveillance ont tiré parti de la crise sanitaire, décrivant les mécanismes du traçage et du contrôle de masse. Il pointe les aspects liberticides de cette politique sécuritaire. ©Electre 2024
Le matricule 728, porté fièrement par la policière montréalaise Stéfanie Trudeau pendant près de 20 ans, est devenu, le temps d'un extrait vidéo de quelques secondes passé en boucle à la télé durant une des émeutes du tristement célèbre printemps érable, le symbole de bavure et de brutalité policière. Il a fait le tour du globe par la voie des médias sociaux, dont YouTube. Deux autres extraits captés par des téléphones cellulaires quelques mois plus tard ont entaché à jamais sa réputation. Ses patrons ne l'ont jamais défendue. Les médias en ont fait leurs choux gras pendant des mois. Certaines de ses prétendues victimes se sont acharnées sur elle dans les journaux, à la radio et à la télé. Des politiciens et de supposés experts ont participé à son lynchage public. Mais sa version des faits, la vraie histoire de Matricule 728, personne ne s'est donné la peine de la connaître. Dans ce livre percutant, qui se devait d'être publié à tout prix, Stéfanie Trudeau sort enfin de l'ombre et met ses tripes sur la table. Elle nous dévoile sa vie privée, son cheminement professionnel et nous amène avec elle sur le terrain, avec les policiers montréalais mal équipés qui faisaient face soir après soir à des manifestants souvent déchaînés. Elle nous raconte dans le menu détail comment, pour n'avoir fait qu'obéir aux ordres et effectué le travail pour lequel elle était payée, elle a vécu une descente aux enfers qui donne la chair de poule et qu'elle ne souhaite à aucun être humain. Une descente aux enfers qui n'est toujours pas terminée trois ans plus tard, et qui semble liée au fait que Stéfanie est une personne différente des autres, comme vous le constaterez.
Les mémoires de la Dame de fer. M. Thatcher passe en revue toute l'époque où elle fut Premier ministre, l'élaboration de ses objectifs au début des années 1980, la guerre des Malouines, les victoires aux élections de 1983 et 1987, et les circonstances de sa chute.
Un constat sur les maladies professionnelles et les mesures qui devraient être prises pour les réduire.
Né sous Louis XVI et mort sous la République naissante, François Guizot (1787-1874) fut tour à tour ministre de l'Intérieur, ministre de l'Instruction publique puis ambassadeur à Londres avant de remplacer Thiers au ministère des Affaires étrangères. Cet ouvrage retrace la vie et la carrière de cet historien et homme politique.
Le programme du Shift project qui vise l'établissement d'une société décarbonée et propose des leviers de transformation pour chaque secteur de l'économie : industrie, santé, logement, administration publique, entre autres. Les conséquences sur l'emploi, le mode de vie et l'organisation de la société sont également examinées. Avec des exemples et des récits fictifs. ©Electre 2022
Après avoir suivi dans un précédent ouvrage leur conversion, le journaliste dresse le portrait de 250 Français partis rejoindre la guerre sainte et qui, confrontés à la réalité des groupes jihadistes en Syrie, en Irak ou en Libye, ont choisi de revenir en France. Au sein de ces entretiens, ils viennent témoigner de leur expérience et de leur parcours. ©Electre 2019
Faut-il toujours obéir aveuglément à la loi ? Thoreau donne ses bases, en 1849, au concept de désobéissance civile.
Faut-il toujours obéir aveuglément à la loi ? Thoreau donne ses bases, en 1849, au concept de désobéissance civile.
Ecrit à la suite d'un séjour en prison pour avoir refusé de payer une taxe finançant une guerre au Mexique, ce texte développe les notions de résistance passive, de désobéissance civile et de non-violence.