Romans
Ce long voyage, c'est celui qu'Annette accomplit en retournant avec son grand-père dans le village où il est né. C'est aussi celui qu'elle fait en elle-même à la découverte de ses propres racines et de ce vieil homme resté jusque-là un inconnu. Comme dans La preuve, qui met en scène un père et sa fille, Y. Z'Graggen explore un thème qui lui est cher : les relations entre les générations.
Emblème de ce sentiment étrange et fréquemment partagé, celui d'être mal aimée de son père, le récit retrace la quête initiatrice d'une toute jeune femme, Anne Guillard.
Sur les traces de son père, l'auteur s'efforce de remonter à ses origines longtemps occultées. Un ouvrage sur l'adoption et les difficultés qu'elle pose.
Publié en 1962 à la Baconnière, un roman toujours d'actualité d'une histoire d'amour et d'indépendance.
Décédée en avril 2012, Yvette Z'Graggen laisse une oeuvre d'une vingtaine de titres. Ce recueil lui rend hommage à travers des évocations personnelles, des souvenirs et des essais complétés par quelques écrits inédits et des photographies.
Ce roman raconte l'invasion japonaise dans la province de Sarawak à travers le destin de villageois hauts en couleur, chasseurs et fumeurs d'opium, qui résistent à l'envahisseur : Kwan A-hung, qui a perdu ses deux bras, Guan la face rouge, le vieux chasseur tatoué Daddy Chou, Plat-Pif, Emily, une orpheline anglaise, la sorcière Mapopo, Tortue Molle, Tsing le Biscornu et Lolo Brioche.
Les voix de Christina, Lucy, Frangie ou encore Annie, âgées de 7 à 9 ans, racontent le quotidien de fillettes d'origine chinoise émigrées aux Etats-Unis. Elles décrivent la pauvreté, l'école, le racisme et la violence ainsi que l'amour immense des parents qui luttent chaque jour pour les faire grandir dans le rêve américain. Premier roman. ©Electre 2019
La Chine au jour le jour : sa grisaille, ses espoirs, ses histoires politiques et ses histoires d'amour.
En Chine, en 1957, Zhang Yonglin, un jeune intellectuel, est victime du Mouvement de rectification contre les droitiers. Il connaît la prison et les camps de rééducation par le travail avant de devenir ouvrier agricole dans une ferme d'Etat. En 1975, il retrouve Huang Xiangjiu, une femme qu'il a entrevue, aimée et perdue huit ans auparavant et dont l'image le hante depuis plus longtemps encore.
Li Jiaqi et Cheng Gong, trentenaires, se retrouvent après plusieurs années. Un huis clos évoquant les souvenirs, les non-dits et les rêves d'enfance.
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