Romans
Deux soeurs, jeunes femmes issues de la banlieue parisienne, décident d'offrir à leurs parents un pélerinage à la Mecque. Après avoir réuni l'argent, au moment d'acheter les billets elles cèdent à la tentation et en prennent pour Phuket, en Thaïlande. Renonçant à être les bonnes filles qu'elles pensaient, elles partent découvrir une autre vie.
Mary est galloise, Frankie est maltais, ils ont 6 filles qui au fur et à mesure de l'éclatement de la famille vont être qui amochée, qui brûlée, qui placée en institut spécialisé, qui vendue à un gangster en échange de la sécurité financière de son père, etc. Ces enfants, devenus adultes, se retrouveront finalement à l'enterrement de leur mère, trente ans plus tard. Premier roman.
Résumé en cours
Liège, 1928. Trois amis détrousseurs de poches volent pour leur patron un coffret de pièces anciennes, apparemment oublié dans une cave de la prestigieuse Maison Curtius. Ils ignorent que ce vol ouvre les trappes d'une aventure faite de dangers et de mystères.
A la mort de son père sur le front belge en 1917, Louis est placé dans un pensionnat, loin des siens. Il rêve d'un bateau pour échapper à ce temple de la discipline et des mauvais traitements. Le nom d'éléphant Island va résonner à son oreille et l'arracher à son silence.
Deux heures du matin dans une chambre d'hôpital, avec en mémoire les sirènes de l'ambulance, le narrateur commence le récit des affres de la maladie : le doute, la peur, mais aussi l'espoir et les souvenirs de tout ce qui l'attache au monde. Prix Marcel Thiry 2018 (ville de Liège).
Un jeune garçon de 15 ans doit s'intégrer à une communauté indienne après le remariage de sa mère avec un Indien.
Courtière réputée, Anna, une Québécoise au début de la quarantaine, travaille dans le monde de la finance à New York. Son frère Bertrand, employé d'une ONG en Afrique, a disparu depuis quelques semaines et Anna décide, sur un coup de tête, de partir à sa recherche.Déstabilisée par le caractère chaotique de l'Afrique, elle y séjourne pourtant le temps de mener sa propre enquête et découvrir où se trouve son frère. Elle rencontre des gens qui l'ont connu, notamment le patron de l'ONG où il travaillait. Mais ces personnes semblent peu disposées à l'aider, comme si un malaise régnait autour de la disparition de Bertrand. Les recherches d'Anna vont débloquer quand elle croisera Liane Dorée, une prostituée à la beauté envoûtante. Celle-ci permettra à Anna de découvrir le journal de Bertrand et d'avoir accès à des pans de la vie de son frère qu'elle ignorait, en plus d'obtenir des indications sur l'endroit où il est parti. Les pièces du puzzle se mettront alors en place. Au bout du voyage, Anna saura enfin ce qui est arrivé à Bertrand, mais elle n'en sortira pas indemne.
Photographe, une femme apprend quelle en a pour quelques mois à vivre. Je veux du temps. Je veux être avec mes enfants le plus longtemps possible se dit-elle avant de commencer les traitements. J'étais si bien raconte, dans la première partie, la lutte et les espoirs de guérison de la mère, le deuil progressif qu'elle doit faire de ce qu'elle fut et de tous ses petits bonheurs quotidiens. Dans la deuxième partie, l'homme relate sa vie et les réactions des enfants après la mort de l'être aimé. J'étais si bien est une magnifique ode à la vie, à l'amour et à la famille.
Adolescente au début des années 1980, Anne-Marie était folle de baseball et marquait les matchs, avant de subitement arrêter. Pourquoi ? Que s'est-il passé de si grave pour lui enlever tout intérêt pour un sport qu'elle aimait pourtant jusqu'à aller à Montréal voir les Expos ? Quand, vingt ans plus tard, sa fille Chloé lui annonce qu'elle va marquer à son tour, Anne-Marie replonge dans ses souvenirs.Chloé, elle, s'ennuie ferme au terrain de baseball. C'est son père qui a insisté pour qu'elle prenne ce boulot de marqueuse. Mais lorsqu'elle apprend que sa mère a occupé la même fonction, Chloé veut comprendre ce qui l'a éloignée du terrain. Curieuse, elle interroge son père et M. Lajoie, le responsable de la ligue. Mais, à l'évidence, les deux hommes ne souhaitent pas évoquer le passé. Comme tous ceux qui seraient en âge de s'en souvenir, d'ailleurs.Qu'est-il donc arrivé sur le terrain de baseball? Comment se cristallise la culpabilité? Peut-elle se transmettre à notre insu de génération en génération ?