Philosophie
Un texte extrait de Signes de M. Merleau-Ponty, dans lequel le philosophe propose une critique de l'oeuvre machiavélienne. ©Electre 2021
Biographie consacrée au philosophe et médecin Avicenne, dont l'intelligence permit d'assimiler la totalité du savoir de son temps, entre culture musulmane et philosophies grecques. Précurseur de la science moderne, il comprit que le recours à la raison était la seule voie de salut contre les fanatismes. ©Electre 2022
Un commentaire philosophique analysant les questions abordées par Aristote dans les trois livres qui composent sa Rhétorique. L'auteur pointe notamment la cohérence de l'oeuvre intégrale malgré quelques ambiguïtés. ©Electre 2021
Parue en 1864, cette oeuvre hostile à la tradition judéo-chrétienne occulte la Bible en lui opposant ses propres valeurs. A travers elle, l'historien invite à une reconquête polémique et lyrique des origines. Le texte est accompagné d'un apparat critique.
Lu par Manon. Une vingtaine de méditations sur des sujets existentiels. Elles se présentent comme des conseils nourris de la tradition philosophique pour se libérer de l'inutile, apprendre à s'émerveiller et à se connaître, s'interroger sur la valeur de la sagesse et de l'amitié, l'importance de l'espérance et de la révolte, etc.
Quarante citations de penseurs, d'écrivains, de peintres ou de poètes sont analysées pour inviter le lecteur à retrouver son humanité. ©Electre 2020
Une exploration des multiples aspects de l’amour, tant sous le prisme de la philosophie occidentale que sous celui des sagesses orientales. Les idées reçues sont ici malmenées.
Contrairement à une idée reçue, les philosophes grecs s'adressaient à tous et Socrate lui-même parlait à tout le monde, au cordonnier comme à l'esclave. Les préceptes repris ici éclairent sur la voie de la raison et de la vérité en parlant de la vie avec les autres, de l'amour, de l'honnêteté, de la peur de la mort, des bienfaits de la sagesse.
L'analyse de l'oeuvre et la présentation des textes essentiels du philosophe grec.
Dans ce traité publié en 1863, John Stuart Mill propose d'introduire dans la morale utilitaire le psychologisme et l'intériorité qui lui manquaient, et de lui retirer ce que Bentham lui avait imposé de mécanique et d'extérieur ; de faire, en somme, d'une science physique et économique, une science psychologique.