Philosophie
Un essai polémique contre les errements du mariage sous ses différentes formes, et plus particulièrement contre le mariage dit d'amour. L'auteur se demande si le mariage d'intérêt n'a pas un avenir dans une société où la nuptialité décline, le divorce explose, le célibat s'étend, les familles monoparentales se multiplient.
Lu par Manon. Un essai sur l'argent dans lequel l'auteur cherche à sortir des attitudes convenues vis-à-vis de cette grande obsession humaine : amour excessif, mépris de bon ton ou préoccupation de tous les instants. L'ouvrage montre qu'il est possible d'y puiser une sagesse nouvelle et de responsabiliser la richesse plutôt que de la condamner sans ambages. ©Electre 2016
Dénonciation du culte du bonheur dans les sociétés laïques contemporaines et de cette croyance de la conception chrétienne de la souffrance comme préalable au salut
Presente la pensee des philosophes grecs antiques et des ecoles philosophiques des VIe et Ve siecles av. J.-C., anterieurs a Socrate.
Une histoire de la philosophie qui retrace avec clarté l'itinéraire intellectuel suivi par l'Europe depuis l'Antiquité.
Consacrées à ce théologien, ces contributions, rééditées ou inédites, présentent les divers aspects de sa pensée, de son personnage et de son oeuvre.
Martin Buber (1878-1965) est essentiellement le philosophe de la réciprocité. Il est en effet à l'origine de l'attention toute particulière accordée à la problématique de l'autre dans les philosophies existentielles du XXe siècle.
Inspirés des Koan, problèmes posés aux élèves par les maîtres zen, ces contes montrent comment le héros ne peut sortir d'un problème insoluble, qu'en passant dans une autre dimension, inimaginable pour lui et jusque là non perçue. Chacune des histoires est en fait un miroir de soi.
Depuis l'Age classique, l'homme a voulu se définir contre l'animal et a recherché sa différence spécifique dans la non-animalité. En contrepartie, il a dû refouler sa propre animalité, notamment sa sexualité
Dans la philosophie occidentale moderne, l'animal désigne l'être privé des attributs censés caractériser l'humain (l'âme, la raison...). Les approches phénoménologiques s'opposant au mécanisme et au vitalisme ont interprété le comportement animal comme la manifestation de la vie en lui. Elles ont vu dans la liberté et l'inquiétude, du fait du mouvement spontané une preuve de son existence propre.