Rompre avec le monde, telle est la volonté d'Alceste. Affligé par l'hypocrisie et la frivolité de la société mondaine, il revendique un idéal d'honnêteté et de transparence des coeur. Un idéal quelque peu anachronique aux yeux d'une noblesse qui a appris à taire son orgueil et à se plier aux compromis de la vie de cour... Alceste s'en moque : il fustige Oronte, le mauvais poète, sans s'embarrasser des convenances.
Dom Juan vole de conquête en conquête, de provocation en provocation, bafouant les êtres, la morale et la religion, jusqu'à ce que le Ciel, lassé de ses déportements et de son endurcissement dans le péché, le voue à la damnation éternelle.
Harpagon, personnage avare, égoïste et cupide, veut marier ses enfants Cléante et Elise. Il espère marier sa fille au vieil Anselme qui l'accepterait sans dot mais celle-ci s'est déjà fiancée en secret à Valère qui se fait passer pour un valet afin de la voir. Quant à Cléante qui aime Marianne, la femme qu'Harpagon se destine, il dérobe le trésor de son père afin de faire pression sur sa décision.