Stephen J. Gould reprend l'idée d'une distinction entre les deux grandes institutions de l'esprit humain et affirme la nécessité d'un principe de non-empiètement entre science et religion.
L'auteur questionne les idees et théories sur l'évolution du vivant. Il affirme que celle ci n'est pas cette inéluctable progression vers une complexité croissante qui culminerait avec l'apparition de l'homme.
L'écrivain scientifique tente ici de comprendre comment un simple problème de calendrier a pu donner lieu à tant d'élucubrations irrationnelles. Il est question "de la perception des nombres ronds, du soleil et de la lune, de l'âge de la terre et de la naissance de Jésus-Christ", pour apprécier le retour cyclique des vieilles questions irrésolues que provoquera immanquablement l'an 2000.