Deuxième et dernière partie de ce roman, où, l'auteur se sert d'une comparaison chimique pour expliquer un cas de psychologie humaine, une passion invincible.
Le voyage en Italie correspond à une rupture dans la vie de Goethe. En prenant la route en 1786, il souhaite échapper à un univers qu'il juge trop pesant. Il se métamorphose en voyageur jusqu'en 1788 et traverse Vérone, Vicence, Venise, Padoue, Ferrare, etc.