Un ensemble de courtes scènes à deux voix, dont la seule prétention est de faire rire sans bêtises. Ecrites pour le théâtre, le cabaret ou la radio, Roland Dubillard leur a accordé le même soin qu'à ses oeuvres de plus grande ampleur.
Cette nouvelle, extraite de Olga ma vache, présente le cahier d'un fumeur qui a décidé d'arrêter : il y note au quotidien ses envies, ses rêves et ses succès, mais aussi ses doutes, ses angoisses et ses rechutes. Des pages de poésie, d'humour, et de dérision, librement inspirées des Confessions d'un mangeur d'opium anglais de Thomas de Quincey (1821).