Dans une succession d'apostrophes à Barbara, Brel, William Sheller, Anny Duperey en passant par ses auteurs de prédilection Françoise Mallet-Joris et Michel Grisolia, la pianiste et compositrice se dévoile. Elle évoque sa vision du métier et du monde, au gré de ses états d'âme et de ses passions au travers de lettres qu'elle a adressées enfant à sa mère, ou d'anecdotes.